nom complet, âge, année. POURSUIVEUR.

nom complet, âge, année. POURSUIVEUR.

nom complet, âge, année. POURSUIVEUR.

nom complet, âge, année. BATTEUR.

nom complet, âge, année. BATTEUR.

Ophélia E. Avery, 16 ans, sixième année. GARDIEN.

Lucretia Emrys Black, 17 ans, septième année. ATTAPEUR.

CAPITAINE : Lucretia Emrys Black.
CO-CAPITAINE ; à définir.
REMPLAÇANTS : 5remplaçants.

Écrivez votre test RP à la suite de ce message selon le poste que vous souhaitez occuper. Nous vous demandons de faire un minimum de 900 mots pour l'occasion et de remplir ce petit formulaire :

Code:

[code]<a class="infobulle1">[img]ICONE 100*100[/img]
<span>nom complet, âge, année.
POSTE.</span></a>[/code]

test Gardien.

Les conditions météorologique ne sont pas au mieux pour monter sur un balais et pourtant, vous y êtes. Voilà près d'une heure que vous jouez et vous ne parvenez pas à attrapper le souaffle qui vous nargue en atteignant les anneaux magiques et pour cela, font gagné des points à l'équipe adversaire. C'est à croire que vous avez deux mains gauches. Le vif d'or n'a pas encore pointé le bout de son nez, il est donc encore possible de se rattraper et de faire tourner la roue de la chance en votre faveur. Qu'allez vous faire? Allez vous baisserez les bras, vous laisserez vous gagner par la mauvaise humeur ou vous vous battrez jusqu'au bout en donnant le meilleur de vous même.

test Batteur.

Voilà près d'une heure que vous êtes sur votre balais, vous ne cesser de parcourir le terrain pour chasser l'un ou l'autre cognard qui ne cesse de menacer vos équipier. Le vif d'or est en course, les attrapeurs ne sont plus qu'à quelques mètre de lui. Celui qui parviendra à l'attraper ferra gagner son équipe. Une minute d'attention, vous n'avez pas vu le cognard qui fonce sur votre bras et vous oblige à lâcher votre batte. pendant ce temps, l'autre cognard fonce droit sur votre attrapeur, menaçant ainsi sa course au Vif d'Or. Que faites vous ?

test Attrapeur.

Vous avez beau parcourir le terrain de long en large, de haut en bas, vous ne parvenez pas à mettre la main sur le vif d'Or. L'attrapeur adverse semble avoir le même soucis. Quelques mètre plus bas, les scores se chevauchent sans cesse. Le souaffle et les poursuiveur ne sont soudain plus qu'à quelques mètre de vous, vous n'oser bouger de peur de ralentir leur jeu et ainsi leur faire perdre l'avantage. C'est à cet instant que le vif d'or apparaît, là, au milieu de vos coéquipiers. Un coup d'œil en arrière vous informe que votre adversaire n'a apparement pas vu la petite boule d'or. Que faites vous?

test Poursuiveur.

L'un des poursuiveurs de votre équipe a été envoyé sur le banc de touche après avoir été heurter par un cognard. Vous vous retrouvez dans une position délicate car l'accès au anneaux magiques et la stratégies mises en place plus tôt dans la journée sont remise en question de part l'absence de votre coéquipier, pourtant, si vous marquez encore un but, vous vous assurez une avance certaine qui vous permettrais de gagner sans attrapper le vif d'Or. D'ailleurs, l'attrapeur adverse est en bien meilleur position que celui de torve équipe, harceler par les cognards. Que faites vous?

Le vent souffle si fort, il m’aveugle. Tout n’est que brouillard, tout est gris, tout est opaque, on n’y voit tout simplement rien. Mes dents sont si serrées que j’en ai mal. Tout va mal. Tout va mal. Pourquoi la température n’avait-elle pas pu être clémente, juste pour aujourd’hui ? Au moins, juste aujourd’hui ? Je laisse échapper un rugissement. Tout cela m’énerve à un point, je me sens bouillir, je sens que je vais exploser. Je déteste perdre. Je déteste ne pas réussir. Je déteste tout simplement échouer. Et tout cela, ça sent la défaite à plein nez, même que ça pue. Sourcils froncés, chassant une mèche brune qui s’est détachée de mes cheveux attachés, je tente d’y voir quelque chose à travers ce brouillard. Mes mains sont fermement collés à mon balai qui ne cesse de bouger avec tout ce vent. Sincèrement, quelle température horrible, on dirait que le monde se déchaîne contre le stade de Quidditch. Ce n’est presque pas naturel, ce vent qui déracinerait le Saule Cogneur. Et ce brouillard, si dense, si opaque, qui nous empêche de voir à plus d’un mètre, qui nous mouille la racine des cheveux, qui nous fait plisser du nez. Non, ça n’a rien de naturel, je n’ai jamais vu des conditions météorologiques aussi misérables pour un match de Quidditch. Un coup monté par les Gryffindors ? Ça ne me surprendrais même pas, mais bon, je ne dois pas être aussi cruelle envers eux. Il y en a des pas si mal. Et puis à quelque part, je m’en fous qu’ils soient rouge et or ou vert et argent, l’important c’est ce qu’ils font de leur peau. Je secoue la tête. Concentres-toi sur le match, ma pauvre. Et puis… quel match ? Depuis tout à l’heure, je n’arrives pas à attraper le Souafle. Il arrive, comme ça, de nulle part, passe à travers les buts et je ne peux rien faire d’autre que de regarder le spectacle. Je le vois trop à la dernière minute, alors qu’il franchit le brouillard. C’est un match désastreux. Tout simplement désastreux.

Je plisse des yeux en apercevant une tache rouge qui arrive à tout rompre. Je lève un bras avec la bonne et ferme intention de l’attraper avant qu’il ne fasse gagner d’autres points à l’autre équipe – ils en ont déjà assez – mais il arrive trop vite, et trop fort. Je le reçois directement sur le nez. J’entends un craquement, la douleur qui fuse dans chaque muscle, chaque nerf de mon corps, je laisse échapper un rugissement mélangé de rage et de douleur. Mon uniforme vert et argent se tache de rouge, ça fait mal, si mal, mais le match doit continuer. Évidemment, pas de conséquence pour l’adversaire, à cause de ce brouillard. C’était à moi de le voir, n’est-ce pas monsieur l’arbitre ? Ouais, viens donc à ma place et essaie, tu verras que c’est pas si facile, espèce d’imbécile… Je me promène un peu, en attendant le prochain coup, j’entends des cris fuser dans le stade. Que se passe-t’il ? Non, ne quittes pas ton poste, Slytherin doit gagner, quoi qu’il en soit. J’entends des cris de joie. 10 points pour Slytherin ? Il était temps ! Je ne suis pas toute seule dans cette équipe, agréable de voir que les autres font quelque chose. Allez, Emrys, attrape ce maudit vif d’or… Je secoue la tête de nouveau. Concentration.

Je perçois une silhouette qui vole vers les buts. Je me paralyse, fronce des sourcils, ne la quitte pas des yeux. Il s’approche, je peux même voir ses yeux plissés, il tente de voir à travers ce brouillard. Puis je fonce sur lui. Il n’a même pas le temps de ciller, je le frappe de plein fouet et attrape le Souafle avant de le lancer à un poursuiveur de Slytherin qui s’est avancé. Je crois bien lui avoir donné un sacré coup, puisqu’il est déséquilibré de son balai et tombe presque. J’esquisse un sourire, je le vois me lancer un regard noir. C’est ça le Quidditch mon gars, fais avec. Il repars vers l’autre côté du terrain et je me replace au centre des trois cercles avant de voir un Souafle filer à deux centimètres de mon visage pour travers le cercle de gauche. Un juron s’échappe de mes lèvres. C’est pas vrai ! Je suis un véritable désastre aujourd’hui, moi qui a l’habitude de garder le jeu stable jusqu’à ce que Emrys attrape le vif d’or ! Par Merlin, quelle journée horrible. J’ai presque envie d’abandonner, mais l’équipe doit gagner. Je ne baisse pas les bras, je ne suis pas comme ça. Je suis une Avery, et les Avery doivent gagner.


(…)

Je descends au sol, la rage au ventre. Dès que mes pieds se posent sur l’herbe battue et humide, je compose un visage impassible. Mais mes yeux trahissent tout, ils lancent des éclairs, je tuerais n’importe qui et n’importe quoi sur le champ. Je saisis violemment mon balai, ignore tout autour de moi et me dirige sauvagement vers les vestiaires. Le Gryffindor que j’ai frappé tout à l’heure m’arrête. ‘Sans rancune, hein ?’ me lance son visage. Pauvre rouge et or, toujours à penser que le pardon est important. Eh bien il est allé voir la personne la plus rancunière de ce monde en ce qui concerne gagner et perdre. Je plisse des yeux et lui lance : « Pas trop mal, j’espère ? » avant de le gifler et de reprendre mon chemin. Je déteste perdre, je déteste perdre, je déteste perdre… Il ne faut pas que mon père apprenne que l’équipe a perdue à cause de moi, il me tuera, il me détestera. J’entre dans les vestiaires et me change rapidement, attachant mes cheveux en une simple tresse, la mâchoire serrée. Calmes-toi. Respire. J’inspire, puis expire, puis inspire, puis expire. La colère ne sert à rien, il faut être fort. Je lève la tête, sois forte, sois autoritaire, sois une Avery. J’entre dans le château silencieux, croise quelques élèves qui semblent plongés dans leur conversation, croise même Tom Jedusor qui m’accorde un drôle de regard. Je ne suis pas d’humeur, mais le voir me déstabilise. Aurait-il gardé son sang froid à ma place ? Je n’en sais rien, mais je regrette soudainement de m’être emportée. Ah, et puis, je ferais tout pour cette équipe. Tout pour qu’elle gagne. Soudainement, comme soulevée par un sentiment de solidarité, je prends le chemin inverse vers les vestiaires. Toute l’équipe est là, me regarde entrer. Leurs visages sont piteux, je sais qu’ils m’en veulent. « Désolé » est tout ce que je réussis à articuler. Je m’assieds sans prendre le temps d’observer leur réaction. Le prochain match, on le gagnera, ils peuvent en être sûr. Les Slytherin vont triompher, je ne me laisserai pas abattre.

Code:

<a class="infobulle1">[img]http://www.mila-kunis.net/gfx/lj_icons/0047.png[/img]
<span>ophelia e. avery, 16 ans, sixième année.
GARDIEN.</span></a>

Mais abusé! Voilà ce qu'il avait envie de crier au ciel et à ces foutus cognards qui semblaient s'être donnés le mot pour s'approcher de tous les joueurs SAUF lui. Et quand on est batteur, c'est d'un pratique, vous en conviendrez, non? Certes, Aster n'avait pas l'apparence d'un batteur, avec sa petite stature et ses bras fins, mais ce qu'il manquait en force, il le gagnait en hargne et en rage. En précision aussi, puisqu'il était assez intelligent pour éviter les vilaines baballes qui voulaient réduire son nombre de neurones et donc être encore capable de viser à la fin du match (ou de l'année, tout dépendait de la fréquence des chocs). S'il avait pu shooter un cognard avec le pied, tout aurait été plus simple, et ces abruties de balles enchantées seraient déjà rentrées dans leur cage, en pignant. Mais non. Forcément, il fallait utiliser une batte, et jusqu'à preuve du contraire, une batte on peut pas la tenir avec les pieds. Si vous avez une astuce, je suis preneur, mais il y avait 99% de chances qu'un Ravenclaw se ramène en pignant que c'était contraire au règlement. Grr.
Cependant, toutes ses lamentations, si elles étaient appropriés à la situation et à son égo disproportionné, ne faisaient rien pour changer les choses. Si le cognard ne venait pas à lui, il irait au cognard! Veni vidi vici, un truc dans le genre, tout ça. Résultat des courses, Aster fit prendre un peu plus de vitesse à son balai, voyant que les cognards avaient décidés de faire câlin aux battes adverses, direction Emrys. Ah mais non.
Bien qu'intérieurement, Aster n'avait aucun problème à ce que la Black se prenne un cognard dans la tronche, le problème était qu'elle était capitaine, déjà, et qu'ensuite, il était dans son équipe et son devoir était de lui venir en aide. Sans quoi, zou, plus de poste, plus de moyen de briller et surtout de voler et de faire éclater sa frustration en tapant sur autre chose que son frère. Le monde était mal fait. Il fit donc passer sa batte dans son autre main, pour tenter d'intercepter la sale chose magique inventée par des abrutis congénitaux sadiques qui devaient haïr le Quidditch, mais, malheureusement, il avait été tant focalisé sur Emrys et sa situation dangereuse qu'il n'avait pas pensé à se rappeler que les enchantements du diable n'étaient pas au nombre de un, mais de deux. Et que le deuxième cognard, pour une fois, avait eu envie de venir lui dire bonjour. Enfer et damnation!

Le choc fut digne des plus grands films pas encore inventés de guerre, avec effets spéciaux, et hurlement de rage – et un peu de douleur, mais on est un Greengrass, alors on serre les dents – alors que sa batte, unique instrument de protection d'attaque, tombait comme une pierre au sol, et que le cognard, furieux d'avoir loupé sa cible, amorçait son demi tour pour venir lui faire sa fète à lui, le petit blond. En bon Slytherin, la fuite lui paraissait une bonne option, mais Emrys avait quasiment le vif d'or, et s'ils gagnaient... Et bien, il pourrait passer les cinq prochains jours à sourire narquoisement aux vaincus et à siffler sur leur chemin. C'était bête et méchant mais, éh! Un peu de méchanceté gratuite n'a jamais tué personne, au contraire. Aster ne faisait que préparer ses pauvres incrédules naïfs à la dure loi de la vie adulte.
Très vite, il prit donc sa décision. Le Quidditch n'était pas un sport où on pouvait faire un arrèt sur image et raconter sa vie pendant que le ballon tournait au ralenti, non, il fallait réagir dans la seconde, instinctivement, et agir bien. Pas sur que partir en pleurant soit la solution, voyez vous. Le jeune homme serra donc les dents, envoya une prière pour que son balai tienne la route; sinon son père allait le tuer, pour que son plan fonctionne, sinon, c'était lui qui pouvait bien s'faire tuer, ce qui n'était pas dans sa liste de choses à accomplir rapidement, et hasta la vista.
Usant de toute la vitesse de son balai, il essaya de distancier le cognard qui le suivait, se dirigeant vers Emrys, ou plus exactement, vers la balle maléfique qui se dirigeait vers elle. Sans batte, il n'avait rien pour étendre la portée de son bras et porter un coups qui pourrait la faire voler ailleurs, mais, il avait autre chose.

Un balai.

Entendant le sifflement caractéristique de son cognard personnel qui lui arrivait dans le dos, Aster utilisa la force de ses bras, jambes et abdos pour empoigner le manche de son balai et de faire une sorte de galipette arrière, laissant donc passer à quelques centimètres de sa tête le boulet de canon, et, comme toute roue qui se respecte, se retrouva dans la même position, à une exception près: la queue de son balai rentra en collision avec le cognard qui avançait encore, et le Slytherin, s'en servant comme une batte de fortune, apportant la force de sa figure à la vitesse de la balle, l'envoya droit sur l'autre cognard, qui se le prit en plein dans la tronche, et dévia de sa course, laissant le temps à Emrys de gagner quelques précieux mètres pour approcher le vif d'or. Le temps aussi pour lui de calmer son coeur, de lacher une sorte de rire nerveux d'avoir réussi, et d'attraper au vol la batte de secours que son coéquipier lui tendait. C'était pas le tout, mais le match n'était pas fini.

Code:

<a class="infobulle1">[img]http://icons.mistijuel.org/Boyd%20Holbrook/81.png[/img]
<span>Aster Albiréo Greengrass,16 ans, Sixième année.
BATTEUR.</span></a>