nom complet, âge, année. POURSUIVEUR.

nom complet, âge, année. POURSUIVEUR.

nom complet, âge, année. POURSUIVEUR.

nom complet, âge, année. BATTEUR.

nom complet, âge, année. BATTEUR.

ignatius aedan prewett, 17 ans, septième année. GARDIEN.

nom complet, âge, année. ATTRAPPEUR.

CAPITAINE : Ignatius Prewett
CO-CAPITAINE ; à définir.
REMPLAÇANTS : 5remplaçants.

Écrivez votre test RP à la suite de ce message selon le poste que vous souhaitez occuper. Nous vous demandons de faire un minimum de 900 mots pour l'occasion et de remplir ce petit formulaire :

Code:

[code]<a class="infobulle1">[img]ICONE 100*100[/img]
<span>nom complet, âge, année.
POSTE.</span></a>[/code]

test Gardien.

Les conditions météorologique ne sont pas au mieux pour monter sur un balais et pourtant, vous y êtes. Voilà près d'une heure que vous jouez et vous ne parvenez pas à attrapper le souaffle qui vous nargue en atteignant les anneaux magiques et pour cela, font gagné des points à l'équipe adversaire. C'est à croire que vous avez deux mains gauches. Le vif d'or n'a pas encore pointé le bout de son nez, il est donc encore possible de se rattraper et de faire tourner la roue de la chance en votre faveur. Qu'allez vous faire? Allez vous baisserez les bras, vous laisserez vous gagner par la mauvaise humeur ou vous vous battrez jusqu'au bout en donnant le meilleur de vous même.

test Batteur.

Voilà près d'une heure que vous êtes sur votre balais, vous ne cesser de parcourir le terrain pour chasser l'un ou l'autre cognard qui ne cesse de menacer vos équipier. Le vif d'or est en course, les attrapeurs ne sont plus qu'à quelques mètre de lui. Celui qui parviendra à l'attraper ferra gagner son équipe. Une minute d'attention, vous n'avez pas vu le cognard qui fonce sur votre bras et vous oblige à lâcher votre batte. pendant ce temps, l'autre cognard fonce droit sur votre attrapeur, menaçant ainsi sa course au Vif d'Or. Que faites vous ?

test Attrapeur.

Vous avez beau parcourir le terrain de long en large, de haut en bas, vous ne parvenez pas à mettre la main sur le vif d'Or. L'attrapeur adverse semble avoir le même soucis. Quelques mètre plus bas, les scores se chevauchent sans cesse. Le souaffle et les poursuiveur ne sont soudain plus qu'à quelques mètre de vous, vous n'oser bouger de peur de ralentir leur jeu et ainsi leur faire perdre l'avantage. C'est à cet instant que le vif d'or apparaît, là, au milieu de vos coéquipiers. Un coup d'œil en arrière vous informe que votre adversaire n'a apparement pas vu la petite boule d'or. Que faites vous?

test Poursuiveur.

L'un des poursuiveurs de votre équipe a été envoyé sur le banc de touche après avoir été heurter par un cognard. Vous vous retrouvez dans une position délicate car l'accès au anneaux magiques et la stratégies mises en place plus tôt dans la journée sont remise en question de part l'absence de votre coéquipier, pourtant, si vous marquez encore un but, vous vous assurez une avance certaine qui vous permettrais de gagner sans attrapper le vif d'Or. D'ailleurs, l'attrapeur adverse est en bien meilleur position que celui de torve équipe, harceler par les cognards. Que faites vous?

Au fil de l'année scolaire, il faut toujours qu'au moins un match de Quidditch se déroule sous la pluie britannique. En effet, la région qui abrite le collège de sorcellerie n'est pas réellement reconnue pour être ensoleillée mais davantage pluvieuse, brumeuse, humide et tout ce que s'en suit. Pourtant, beaucoup d'élèves espéraient que ce jour soit couvé par le soleil, ou même un temps nuageux. Dans tous les cas, pas qu'il pleuve des cordes sur Hogwarts. Dans le lot de ces élèves qui espéraient du beau temps, les joueurs de Quidditch eux-mêmes souhaitaient encore plus fort l'absence de pluie. En effet, que vous soyez gardien, poursuiveur, batteur ou attrapeur, la pluie n'aide aucunement. Les attrapeurs ont leur champ de vision considérablement réduit, ce qui influe totalement sur leur principale tâche, soit, celle d'attraper le fameux vif d'or. Quant aux poursuiveurs, le champ de vision est également réduit, ainsi que l'acte de rattraper un souaffle glissant par la pluie. Souaffle qui voit d'ailleurs même parfois sa trajectoire déviée par cette avalanche de gouttes provenant du ciel, guidées par un vent fort en ce jour. Quant aux batteurs, leurs coups contre ces satanés cognards sont également réduits, de plus, la pluie ne leur permet pas une solide prise de leur batte. Ensuite, venons au gardien. Garder trois anneaux n'est déjà pas tâche aisée, mais sous la pluie, cela s'avère un suicide parfait. Voyez, non seulement le gardien doit avoir l'œil sur un déroulement du match rapide et parfois chaotique à cause des effets de la pluie sur les tactiques et les joueurs, mais en plus, il doit tenter de rejeter ce fameux souaffle. Dans ce cas-là, le mieux est de l'attraper, pour s'assurer de le renvoyer à un membre de son équipe. Cependant, attraper un souaffle dégoulinant lancé de toutes les forces d'un sixième année rime étrangement avec attraper un savon dans une baignoire particulièrement profonde. En d'autres mots, ce match n'avait rien d'aisé. De plus, n'oublions pas la présence des deux sauvages cognards qui, eux, ne sont en aucun cas affaiblit par la pluie. Oh que non...

Quoi qu'il en soit, ce match était particulièrement difficile. Sans compter le fait que j'avais l'impression d'être partout sauf à ma place. Les souaffles passaient et je parvenais à peine à les arrêter, beaucoup d'entre eux avaient franchis un des trois anneaux que j'étais censé protéger, et à désormais cinquante minutes de jeu, le score s'avéraient trop dangereux pour augurer une victoire pour mon équipe. Je m'en voulais terriblement, et honnêtement, j'étais plongé dans une pseudo déprime mixée à une colère assez horrible. Je jalousais l'autre gardien qui parvenait à stopper quelques tirs et qui, visiblement, se débrouillait bien mieux que moi sous la pluie. Mais par le caleçon de Merlin, qu'est-ce que je faisais ici ? J'étais censé être un gardien, un bon gardien, j'avais passé les sélections, cela faisait plusieurs années que je pratiquais le Quidditch, que ce soit à Hogwarts comme dans ma famille. Être gardien, c'était là où j'excellais le plus comparé aux autres postes, pourtant, j'étais une vraie brèle en ce moment, sur mon balai, mes yeux froncés à m'en rider le front pour les plusieurs jours qui suivraient. Je lançais un coup d'œil à l'attrapeur de mon équipe qui semblait tout aussi désespéré que moi et attirais de nouveau l'attention sur le match, évitant de justesse un cognard qu'un des batteurs de l'équipe adverse venait d'envoyer sur ma personne. Franchement, la seule chose qui me traversa l'esprit sur le coup fut de trouver ce joueur particulièrement stupide : à quoi bon m'envoyer hors-jeu ? J'étais inutile. Presque cela rendrait service à l'équipe ! Les poursuiveurs de l'équipe adverse s'avancèrent rapidement, stratégiquement et surtout dangereusement de mon côté du terrain. Puis... Le souaffle fut reprit. Un soupire de soulagement fila entre mes lèvres, jusqu'à ce que le jeu s'accélère : le souaffle venait d'être reprit par ce septième année de l'équipe que nous affrontions, il venait de dénicher une échappée dans notre jeu, venait de percer la défense, toutes les stratégies élaborées par notre capitaine et... plus que quelques mètres, deux-trois coups d'œil de sa part, je me tenais sur mon balai, effectuant de légers mouvements latéraux, attendant son coup, jusqu'à ce que le jeune homme lance finalement à la va-vite le souaffle... Qui s'orienta vers le cerceau de droite. Je m'élançais, mon balai répondant non sans difficulté à mon commandement, celui-ci n'appréciant visiblement guère la pluie. Le vent se leva, la pluie lacérait les parties de mon visage déjà malmenées par le froid et les gouttes incessantes. Je plissais davantage les yeux et tentais le tout pour le tout : tendais les bars vers ce maudit souaffle dont je frôlais déjà la consistance. J'essayais de l'attraper sans que ce dernier me tombe des mains, mais n'ayant aucune prise sur l'objet volant glissant, je ne parvins qu'à dévier sa trajectoire et celui-ci rebondit mollement contre le cerceau, pour être rattrapé par un poursuiveur adverse qui venait de tacler celui de mon équipe. A peine ai-je le temps de me redresser sur mon balai que le souaffle se dirigeait de nouveau vers le cerceau de gauche. Je m'y élançais à vive allure, pestant, maudissant le temps, clamant mes adieux aux dernières parties de mon visage et de mes mains que je sentais encore jusqu'à présent, frôla de nouveau le souaffle qui... Pénétra cette fois dans le cerceau et fit marquer des points à l'équipe adverse sous les exclamations et déceptions des spectateurs. J'inspirais profondément, la rage m'envahissant, revenant lentement à la position la plus stratégique du gardien. Le dictionnaire des gros mots passait dans ma tête tandis que j'évitais de justesse un nouveau cognard. Espèce de vieille goule édentée, t'as pas comprit que je servais à rien ? Quoi que non, continue, au moins, l'équipe risque pas grand-chose. Mais si tu pouvais viser ton attrapeur binoclard boutonneux gringalet, ça m'arrangerait. J'entendais le score énoncé par le commentateur et ne put réprimer un sourire à l'écoute des dix points ajoutés à notre équipe. Autant se réjouir de ce qu'on peut avoir, à défaut de gagner ce match... A moins d'un miracle... Ou d'un vif d'or souriant à la chance de notre attrapeur.

Mais l'essentiel est là : on peut toujours gagner. Tout n'est pas joué. On a déjà vu des revirements de situation fabuleux, non ? Certes, l'équipe adverse a une sacrée avance, mais si nous parvenions à capturer le vif d'or, nous pourrions remporter ce match. On a encore de la marge, une fine marge, certes, mais tout n'est pas joué ! Tout est possible. Et puis mince, autant jouer le tout pour le tout. Je retrouverais les sensations de mon visage plus tard, ou quand je serais mort, gisant à l'affront d'un nouveau cognard... Que j'évitais, encore une fois. Visiblement, il n'a pas aimé ma petite plaisanterie, cet immature gamin -. J'ignorais un nouveau cognard, hallucinant face à cet affront. Non mais... Les gars, calmez-vous un peu. Et où ils sont, d'abord, les batteurs ? Stupidement, mes yeux tombèrent sur le sol, et j'eus à peine le temps de remonter le regard que de nouveau, un duo de poursuiveurs s'élançaient vers mes cerceaux. Celui-là, je l'arrête... Je retenais ma respiration, calculant les mouvements des deux joueurs, jouant sur la mémoire des dernières stratégies et attaques qu'ils avaient fait, m'élançais à mon tour dans la direction où le souaffle était jeté, tendais ma jambe pour le propulser dans les mains d'un poursuiveur de mon équipe, croisais le regard indéfinissable d'Emrys dont les yeux étaient braqués sur moi, et nul autre que moi, et réussit à loger solidement le souaffle dans les bras de mon poursuiveur, rebondissant même sur son propre torse, avant qu'il ne s'échappe vers le milieu du terrain. Allez, vif d'or, apparaît devant notre attrapeur. Allez, Emrys, porte moi-chance. Au moins, à défaut de peut-être gagner ce match, j'aurais remporté l'attention d'Emrys. Je jetais un coup d'œil vers Mini dans les gradins qui m'encouragea d'un signe de tête, puis Ezra et deux de mes sœurs assises quelques rangs derrière elle. Allez, que je donne toute l'énergie qui me reste jusqu'à m'épuiser. De toute façon, je dormirai quand je serais mort. Et au moins, j'aurais la satisfaction d'avoir tout donné. Absolument tout. D'avoir fait le mieux que je pouvais, et cela, personne ne pourra me le reprocher, même pas moi-même. En espérant simplement que mon coeur-de-lion et ma rage de vaincre me portent davantage chance que la mauvaise humeur du début du match.

Code:

<a class="infobulle1">[img]http://img842.imageshack.us/img842/7631/xsa01.png[/img]
<span>ignatius aedan prewett, 17 ans, septième année.
GARDIEN.</span></a>

Cela va bien faire maintenant près de deux heures que le match est commencer et je n'ai vu que le vif d'or à une ou deux reprises. Je n'ai pas pris le risque de l'attraper par rapport à notre score. Les Hufflepuff ont l'air d'avoir repris du poil de la bête depuis l'année dernière et nous nous attendions pas à cela. Pour gagner, l'attrapeur de chaque équipe doit obligatoirement attraper la petite balle, sinon c'est perdu. Les membres de notre maison scande bon nombre de slogan et un petit sourire passe sur mes lèvres, cela fait vraiment du bien de se sentir soutenu. Mais pour le moment, le plus important est que j'arrive à voir ce petit éclat dorée qui apportera notre victoire. La météo n'est toutefois pas de notre côté, nous sommes au mois de mars et le brouillard est encore de mise ce qui altère considérablement ma vision et certainement celle aussi de mes coéquipiers. Je tourne doucement au dessus du jeu afin de ne pas empêcher certaines passes ou autre, les déstabiliser ne serait certainement pas la meilleure des solutions. Quand je suis entrée dans l'équipe il y a de cela maintenant trois ans, j'ai été tellement heureuse que j'ai envoyer un hibou à mon père pour le mettre au courant. En récompense et réponse, j'ai reçu le dernier balai du moment, un magnifique engin qui fait encore aujourd'hui des merveilles dès que je tape du pied pour prendre de l'altitude. Je n'en changerais pour rien au monde. Ma main glisse doucement sur le bois et je plisse légèrement les yeux en voyant un des poursuiveurs des Gryffondors lancer la balle à travers l'un des cercles caractérisant les buts. Par la barbe de Merlin, cela nous donne un peu plus d'avance. Inespéré. Depuis le début du match, c'est tellement serrer que même le commentateur commence à manquer d'accroche. Puis, je ne crois pas que le public l'écoute réellement, plus passionner par le jeu que ses dires.

Deux heures et quinze minutes.

Je commence réellement à me demander si le vif d'or n'a pas pris la poudre d'escampette, pas trace de lui alors que je tourne en rond depuis un bon bout de temps. Je sens pas très loin mon adversaire qui fait comme moi, suis la plupart de mes gestes. C'est l'une des tactiques les plus courantes de notre poste, suivre l'autre afin d'avoir une plus grande chance d'attraper la petite balle. Mais cela finit souvent par se retourner contre nous. Je me rappelle encore de ce match quand j'étais en premier année, quand l'attrapeur de notre équipe avait suivi celui des Slytherin, il avait passer quelques à l'infirmerie par la suite. Quand il avait atteint le sol, le balai s'était briser en deux, pas très jolie à voir. Moi, ça m'avait donner encore plus envie de pourvoir se poster une fois qu'il serait libre, chose que j'avais faite. Je descends lentement et fait quelques voltiges tout en gardant un œil sur le jeu, il a l'air de se lasser de mon petit jeu et part dans une autre direction. Maintenant, je peux me mettre à fond dans mes recherches. Je descends légèrement et me retrouve dans l'action du jeu, les conseils de notre capitaine me parvenant difficilement aux oreilles. Je l'entends hurler contre les batteurs de faire un peu plus attention après qu'il est failli se prendre un cognard. Dans les buts, j'aperçois Ignatius qui avec son visage concentré ne semble plus vraiment faire attention à ce qui l'entoure. Je le comprend, être gardien n'est pas facile, moi en tout cas je ne me voie pas à sa place. Je vole légèrement quand je vois que la partie est reprise et que les joueurs volent à toute vitesse vers nos buts, mauvais signe, mais je refuse de bouger de peur de les déconcentrer. Enfin, surtout mes coéquipiers.

Et c'est là que je le voie enfin.

Il virevolte doucement entre l'enchevêtrement que forme les six poursuiveurs et je ne sais pas comment je dois m'y prendre pour l'atteindre sans alerter l'autre attrapeur. Je n'ai pas beaucoup de temps, juste quelques secondes avant de prendre la meilleure des décisions. Mon cœur palpite et je sens mon cerveau bouillir, ce n'est jamais dans mon genre de réfléchir autant. C'est tellement difficile. Pourtant, mon instinct reprend le dessus et je fonce sans vraiment regarder vers le groupe et j'entends le silence qui se fait autour de nous. Le public viens certainement de comprendre. Je ne me laisse pas impressionner et prend un peu plus de vitesse, je sais qu'il y a un risque de collision, mais je le prend quand même. Une fois proche du vif d'or, je tend la main et remonte en même temps. Quand je sens mes doigts se refermer sur la petite balle et aucun bruit de choc retentir, je soupire et ouvre les yeux pour voir qu'ils ont continuer leur route. Je lève le bras en l'air, un grand sourire sur les lèvres et j'entends le commentateur annoncer mon exploit. Mon cœur bat la chamade, je n'aurais cru ressentir ce genre de chose un jour. Mais voilà, avec le Quidditch ont est sûr de rien et surtout, une surprise pour toujours nous attendre au détour d'un souaffle ou comme aujourd'hui... D'un vif d'or.



Code:

<a class="infobulle1">[img]http://i53.tinypic.com/2qkj6vk.png[/img]
<span>Mattie Potter, Dix-sept ans, Septième année.
ATTRAPEUR.</span></a>