nom ▽ Sclipteux. Son père est anglais. Enfin, si l'on peut dire, car il n'y a plus grand chose d'anglais chez lui. Expatrié dans la capitale française depuis des années, bien avant la naissance de sa fille, George Sclipteux ne garde de ses origines qu'un accent presque imperceptible. prénom ▽ Jeanne. Garance. Elle n'aime pas les diminutif et les surnoms. Dans la famille de sa mère, ils ont une fâcheuse tendance à l’appeler Gary. Elle n'apprécie pas spécialement, mais ne bronche pas pour autant, sachant que cela ne changera rien.âge ▽ Dix sept ansnature du sang ▽ écrire icinationalité ▽ écrire iciannée ▽ écrire icicamp ▽ écrire icicaractère ▽ écrire ici (citer au moins trois qualités et trois défauts)avatar ▽ écrire ici
Poudlard entre les mains de Voldemort et de ses sbires... Que pense votre personnage de tout cela? Pourquoi avoir choisi ce camp?
et toi dans tout ça? ici tu nous parle de toi, ton petit pseudo, ton âge, comment tu as découvert le forum, ce que tu en penses, et sans oublier le petit mot magique indispensable pour être validé. il faut aussi indiquer combien de mots fait ton vis ma vie .
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Dernière édition par L. Emrys Black le Lun 27 Jan - 17:39, édité 5 fois
HOMINUM REVELIO ! L. Emrys Black
CAPITAINE ϟ ATTRAPPEUSE. septième année
PARCHEMINS ENVOYES : 305 DATE D'INSCRIPTION : 22/03/2011 ÂGE DU PERSONNAGE : 31 FRIANDISE PREFERE : Des Bulles Baveuses PATRONUS : Un sapajou HUMEUR DU JOUR : Chiante et assume
Jeanne était perdue. En une fraction de seconde, son beau monde s'était effondré. Elle ne s'y attendait pas. Elle s'était laissée bercée par les illusions, persuadée que la guerre était loin et qu'elle n'atteindrait jamais les portes de la France. Naïve petite chose. La réalité l'avait rattrapé, la heurtant de plein fouet. La détresse et le désarrois s'était emparés de son être à tel point que les jours heureux ne lui semblait plus être qu'un lointain souvenir. Beaubatons. Les rues de Paris. Elle avait été arrachée à ce monde et planté dans un nouveau décor. Elle ne reconnaissait aucun visage. Elle était noyée dans le flot de visage inconnu. Immobile, elle laissait les élèves de Poudlard déambuler dans les couloirs. Elle était au milieu d'eux. Ils étaient si nombreux et elle... Elle se sentait si seule. Elle avait l'impression de n'être qu'une ombre, un fantôme dont on ne se préoccupait pas. Ici, elle n'était personne. Ici, elle n'était qu'une inconnue. Par Merlin, pourquoi l'avait-on emmener entre ses murs. Elle n'avait rien demandé à personne. Sa tante aurait pu lui répondre. Sa tante. Fleur. Les larmes roulaient sur ses joues rosies. Le monde semblait s'évaporer, l'image de sa tante revenait la hanter. Ancrer en elle. Elle revoyait ses yeux livides et morts fixés le néant. Elle revoyait le sang perlé dans ses cheveux. Elle fut secouée d'un sanglot. Incapable de bouger. Incapable de dire quoi que ce soit. Sa pauvre tante Fleur. Qu'avait-elle bien pu faire pour finir ainsi? Son cœur cognait douloureusement contre sa poitrine. Elle essayait de se reprendre. Elle ne se reconnaissait pas. Elle était tellement loin de la fille qu'elle était à Beauxbatons. Elle détestait perdre la possession de son être. Des jeunes sorciers la bousculait. Imperméable à son désarrois. Les autres élèves ne la voyaient pas. Elle ne voyait pas les autres élèves. Comme s'ils n'avaient pas appartenu à la même réalité. Comme s'ils évoluaient parallèlement, sans avoir conscience de l'existence de l'autre.Pourtant, elle le vit lui. Cela faisait tellement longtemps qu'elle ne l'avait plus vu. Il était exactement celui dont elle se souvenait. Il était nettement plus âgé. Si différent et pourtant, le même. Elle se laissa submergé par l'émotion. Elle couru et lui sauta au cou, enfouissant son visage contre sa nuque. Ses poumons s'emplirent de son parfum. Elle le serrait contre son corps. Comment était-il possible de ressentir des sentiments aussi contradictoire. Elle était heureuse et dévastée. Elle était bouleversée. Il n'y avait aucun mot pour qualifier ce qui se jouait en elle. Jeanne ne s'était même pas aperçue qu'elle s'était ruée sur lui sans rien dire. Savait-il seulement qui elle était? Savait-il seulement qu'elle était à Poudlard? Probablement pas. Elle finit par le libéré de son étreinte. S'éloignant, mais maintenant le contact, les mains posées contre les épaules du jeune homme. Tu m'as tellement manqué Louis. J'ai eu tellement peur que tu ne sois plus ici... Ses mots se mourraient. Elle baissait le regard, presque désolée d'avoir eut de telle pensée. Les mains de la jeune française retombaient, frôlant les bras du Poufsouffle. Elle finit par glisser ses doigts entre ses mains. Mais tu es là. C'est tout ce qui compte. Elle essaya de sourire, alors que des larmes perlaient sur ses joues. Elle avait honte de pleurer de la sorte. Il devait être tellement malheureux. Se rendant compte qu'elle n'agissait que comme une pauvre idiote, elle revint le serrer contre elle, l'emprisonnant dans une étreinte douce, chaleureuse et protectrice.
Jeanne riait franchement. Le genre de rire communicatif, légèrement rauque, comme s'il était ébréché. En l'entendant, il ne pu s'empêcher de rire à son tour, plaquant sa main contre la bouche de la blonde pour éviter que son rire ne se propage d'avantage. Même dans le silence, le rire perdurait, dans la profondeur de ses orbes azurés. Jeanne n'avait jamais cru pouvoir se remettre de son départ de Beauxbatons. Et pourtant, elle était là, à roucouler dans les bras de cet anglais, comme si ses blessures n'avaient jamais existé. Elle était comme cela. Jeanne était de celle qui étouffait ses tourments passés dans le bonheur de l'instant présent. Elle refusait que le chagrin régisse sa vie. Un rêveuse. Une éternelle rêveuse. Elle jouissait de chaque instant, profitant de ses instants uniques pour ne rien regretter. Elle ne voulait pas se battre. Non. La guerre lui avait pourtant donner son lot de malheur et c'était justement bien cela le problème. La guerre lui avait tellement pris. Laisser tomber, se battre et récolter encore plus de désastre? Alors ils auraient gagné. Elle s’évertuait à vivre, à être heureuse. Elle faisait la nique à ces malheurs. Elle était heureuse. On ne pourrait jamais lui prendre l'instant présent. JAMAIS. Pas plus que son future. Quoi qu'il puisse se passer. Elle avait son futur entre ses mains, elle pouvait bien en faire ce qu'elle désirait. Lentement, les doigts du jeunes hommes glissèrent contre les lèvres de la français pour se glisser dans sa nuque, lui soutirant un frisson de plaisir. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour venir lui volé un baiser. Elle voulu s'éloigner de lui, mais il glissa sa main dans le creux de son dos pour la garder auprès de lui. Elle laissa filé un rire, presque inaudible. Je vais être en retard. Ce n'était pas pour autant qu'elle cherchait à fuir l'étreinte du jeune homme. Elle posa son front contre le sien. Les doigts de la sixième année parcouraient la colonne vertébrale du garçon, pour finir par se perdre dans sa tignasse. Elle prenait des inspirations profondes, profitant de celle-ci pour s'imprégner de son parfum. Elle n'avait jamais rien connu de tel. Elle savait pourtant que ce n'était pas politiquement correcte. Elle savait pourtant ce que l'on n'en penserait. Mais dans le monde de Jeanne, cela n'avait aucune importance. Elle était bien avec lui. Comme elle ne l'avait jamais été auparavant. Peu importe ce que les autres pouvaient bien en penser. Peu importe si c'était mal. Mal. Il n'y avait rien de mal dans ce qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre. Ils s'aimaient. C'était aussi simple que cela. Elle ne cherchait pas plus loin. Elle détestait les complications. Leur histoire n'avait pas à être compliquée. Leur histoire devait être exactement ce qu'ils désiraient. Quant au autres? Elle n'en avait que faire du regard des autres. Elle n'avait de compte à rendre à personne. Elle suivait son cœur. Et son cœur la guidait exactement à l'endroit où elle se trouvait. Il était son cousin? Peu importe. Il était avant tout celui qu'elle aimait.
Jeanne était posée contre l'appuie de fenêtre de son dortoir. Collée contre la vitre glacée, elle relisait pour la énième fois la première et dernière lettre qu'elle avait reçu de sa mère. Comme beaucoup à Poudlard, elle attendait des nouvelles qui ne venaient jamais. Les courriers étaient surveillés de près et beaucoup ne passaient pas le contrôle des mangemorts. Peut-être craignaient-ils que l'espoir se répandent dans les murs du château. D'une certaine façon, cela rassurait Jeanne. Ne pas avoir de nouvelle de sa famille signifiait également ne pas avoir de mauvaise nouvelle. Cela ne l'empêchait pas d'avoir les larmes aux yeux lorsqu'elle lisait l'écritures fines et élégante de sa mère. Elle n'était pas réellement triste, c'était même le contraire, lire ses lignes lui faisait énormément de bien.
CRÉDITS GIF ; TUMBLR. ICONS ; MORIARTY ET EYLIKA. CODE APPARTENANT AU FORUM DISSENDIUM
HOMINUM REVELIO ! L. Emrys Black
CAPITAINE ϟ ATTRAPPEUSE. septième année
PARCHEMINS ENVOYES : 305 DATE D'INSCRIPTION : 22/03/2011 ÂGE DU PERSONNAGE : 31 FRIANDISE PREFERE : Des Bulles Baveuses PATRONUS : Un sapajou HUMEUR DU JOUR : Chiante et assume