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Chers élèves, les équipes de QUIDDITCH n'attendent que vous pour passer les sélections. Prochain MATCH : Slytherin VS Hufflepuff !!!
Nous sommes en Septembre 1942.

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 Baby please make A change

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MessageSujet: Baby please make A change    Baby please make A change  EmptyLun 9 Mai - 14:26

Baby please make A change  W027pe Baby please make A change  S2weq9
(c) psychozee&Pawia

L'année avait commencé en fanfare avec plusieurs agressions. Quoi de mieux pour rassurer des parents d'élève déjà terrifiés à l'idée de ne pas avoir leur rejeton sous leur contrôle absolu. En fait, pour Arthur, ça ne changeait pas grand chose. Sa belle-mère le détestait et préférait le savoir loin d'elle. Son père était trop envoûté par sa nouvelle compagne - sa salope, aurait dit Arthur - qu'il ne faisait plus vraiment attention à son fils. Il avait abandonné depuis longtemps de toute façon. Depuis qu'il s'était rendu à l'évidence, que l'amer vérité lui avait sauté au visage : Arthur était le vilain petit canard, celui qui causerait toujours plus de problèmes et qu'on ne parviendrait pas à faire plier. Au moins, son grand frère, lui, était devenu un jeune homme respectable et respecté ; c'était une consolation comme une autre. Arthur, quant à lui, avait aussi abandonné l'idée de changer de comportement : c'était techniquement impossible ou l'Angleterre n'avait pas encore la technologie pour ça, enfin quelque chose dans ce goût-là. Il s'étira dans son lit à baldaquin, ne parvenant pas à trouver le sommeil. Il finit par se lever et descendre dans la salle commune des hufflepuff où il n'y avait rien d'autre à faire que regarder le feu de cheminée mourir lentement en pensant à tout et à rien. Il fut interrompu dans le cours de ses pensées par un elfe qui apparut devant juste devant lui. Ils se regardèrent silencieusement pendant une bonne minute, aussi surpris l'un que l'autre, ne sachant pas trop quoi faire. C'est Arthur qui rompit le silence. « Avec des oreilles pareilles, vous devez vous envoler les jours de tempête ? ». L'elfe baissa la tête en grommelant et partit dans un autre coin de la pièce pour faire sa besogne. Arthur bâilla et décida d'aller faire un petit tour, malgré les restrictions en vigueur.

La situation à Hogwarts n'avait jamais été aussi préoccupante, aussi les règles de sécurité n'avait-elle jamais été aussi draconiennes qu'aujourd'hui. Vu ses antécédents et vu qu'il sortait en pleine nuit, après le couvre-feu et alors que tout monde est sur les nerfs, il serait probablement renvoyé avant d'avoir sortit son excuse du somnambulisme. Naviguant à des lieux de ses pensées par trop préoccupantes, il se promenait pieds nus dans le château sans vraiment faire d'effort pour passer inaperçu ; il sifflotait même en montant l'escalier menant au grand hall. Arrivé devant le grand escalier de marbre, il se retourna vers les grandes portes d'entrée avec une certaine nostalgie. C'est là qu'il avait organisé des combats illégaux de botruc. Il avait gagné pas mal de fric avec ça. Souriant à moitié, il continua son périple dans le château, empruntant l'escalier de marbre comme si de rien n'était. Arrivé en haut, il tomba nez à nez avec Peeves. Lui et Arthur était de la même trempe, de la même race : celle des emmerdeurs finis. Aussi, y avait-il une forme de respect mutuel entre eux, mais aussi une espèce de compétition féroce qui ne laissait place à aucune pitié. Comme il s'y attendait, Peeves prit une grande inspiration avant de crier de sa voix caquetante qu'il y avait un élève hors de son dortoir. Il faisait des cabrioles dans les airs, se déplaçant de droite à gauche, puis il disparut dans les étages pour être sûr que tout le monde entende son message. Il était temps qu'Arthur se réveille complètement et trouve une échappatoire s'il ne voulait pas finir - encore - dans le bureau du concierge. Il prit donc le parti de se cacher dans la première salle qu'il trouverait.

Il avait couru sur plusieurs dizaines de mètre avant d'entrer dans une des premières portes qui voulut bien s'ouvrir. Il la refermât le plus doucement possible pour qu'on ne puisse pas repérer sa cachette et s'autorisa enfin à souffler. Il était sain et sauf, du moins pour quelques temps. Il releva la tête et observa son nouveau havre de paix. Des armures, des armures au métal étincelant ou non, s'étalant à perte de vue et ici et là, un placard ou une vitrine. Ce n'était pas une bonne idée, pas une bonne idée du tout de rester là et ça pour deux raisons : d'abord, Arthur était attiré par les conneries comme les mouches par le miel et deuxièmement, le moindre faux mouvement risquait de déclencher un bruit sourd ; or Arthur avait toujours été un peu maladroit. En voyant toute ces armures, il se dit qu'il serait facile de foutre un sacré bordel en quelques secondes, il voyait déjà la scène et il commençait même à tendre la main vers les armures les plus proches de lui. Il se retint au dernier moment et fit plusieurs pas en arrière pour s'éloigner de la vile tentation. Il chercha une clope et l'alluma pour se détendre. Il eut à peine le temps de tirer deux bouffés de sa cigarette qu'il entendit des pas arriver vers lui. Il regarda à droite et à gauche, avisa un placard et se dit que sa cigarette risquait de le trahir. Il s'approcha d'une statue et coinça sa cigarette dans le heaume de cette dernière, au niveau de la bouche, avant de se planquer dans le placard le plus loin possible de l'armure fumeuse. Comble de la maladresse et de la connerie, en voulant se dépêcher et en oubliant qu'il était pieds nus, il se cogna le gros orteil contre le placard dans lequel il se cacha. Il jura dans toutes les langues qu'il connaissait avant de basculer à l'intérieur de sa cachette improvisée qui faillit se renverser. Le placard oscillait encore quand la porte de la salle des armures s'ouvrit dans un léger grincement.
Arthur E. Longbottom
HOMINUM REVELIO !
Arthur E. Longbottom

Cinquième année


Masculin
PARCHEMINS ENVOYES : 20
DATE D'INSCRIPTION : 28/04/2011
ÂGE DU PERSONNAGE : 28
FRIANDISE PREFERE : /
PATRONUS : /
HUMEUR DU JOUR : Emmerdeur (c'est une humeur, au moins)

LA PENSINE DE TON COEUR.
- RELATIONSHIPS WITH EVERYBODY:
- SECRETS ABOUT YOUR PAST:


Baby please make A change  Vide
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MessageSujet: Re: Baby please make A change    Baby please make A change  EmptyMar 10 Mai - 18:17

La rouquine trainait dans les couloir après le couvre feu. Qui aurait imaginé que la môme qui avait été attaquée par la créature de Slytherin oserait foutre le nez dehors après la tombée de la nuit. A dire vraie, la demoiselle en question n'avait pas eut d'autre choix, elle avait du braver sa peur pour satisfaire les lamentations de son estomac qui n'avait pas eut l'occasion de se remplir à l'heure du souper. La peur la rongeait, mais son estomac avait eut raison d'elle. Les doigts crispées sur sa baguette, la naine des Hufflepuff évoluait dans l'ombre, essayant de faire le moins de bruit que possible. Elle avait peur de tout ce qui l'entourait, comme si le monstre allait revenir pour finir ce qu'il avait commencé. Quelle sotte elle était, elle aurait mieux fait de rester sagement dans son dortoir, même si cela signifiait crever de faim. Elle aurait probablement pu faire appel à Gawain, mais le problème avec ce curieux protecteur, c'est qu'il était préfet et se devait de montrer le bon exemple, ce qui impliquait de ne pas se promener dans les couloirs au beau milieu de la nuit. Mais voilà, sans son protecteur, elle se sentait plus seule que jamais, comme si elle était devenue dépendante de la présence apaisante du jeune homme. Le moindre petit bruit la faisait sursauté, le moindre mouvement suspect lui coupait le souffle et la paralysait durant quelques secondes, le temps qu'elle se rassure de cette peur irrationnelle et pourtant omniprésente. Elle savait que me torturé ne changerait rien à la situation. Que ses craintes ne lui rendraient pas la vie plus facile, bien au contraire. Après tout, s'il devait se passer quelques choses, le fait qu'elle ait peur ou non ne changerait strictement rien au fait que cela lui arriverait. Elle savait tout cela, mais elle était incapable de se résonner. Incapable d'aller au delà de cette stupide attaque qui la hantait, chaque jour, chaque nous, chaque instant de cette foutue vie. Mais elle se refusait d'arrêter de vivre, de rester cloitrer dans l'ombre à attendre, simplement attendre, elle ne laisserait pas cette joie à son agresseur.

Son sang ne fit qu'un tour lorsque le cris de l'esprit frappeur se fit entendre dans les hauteur du château. Elle avait fait un bon en arrière tant ce cri l'avait surprise. Elle avait lâché ma baguette et s'était retrouvée plaquée contre le mur, la respiration haletante et le souffle court. Un élève était dans les couloirs à la sortie du couvre feu. Enfin, un autre élève qu'elle, puisque elle n'avait pas eut la malchance de croiser Peeves. Se pouvait-il que cet élève soit celui qu'elle craignait temps? Peut-être qu'il avait été bêtement surpris par l'esprit frappeur alors qu'il s'en allait pour libérer sa bête féroce dans les couloirs du château. Pimprenelle avait mal la tête, elle avait l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds, que le monde qui l'entourait s'était mis à tourner, comme lorsque l'on se trouve sur un manège qui va trop rapidement. Ses orbes papillonnaient alors que la voix de Peeves résonnaient dans l'ombre. Elle ne pouvait pourtant pas rester là, les professeurs ne tarderaient pas à envahir les couloir pour mettre la main sur la tête brûlée qui s'aventuraient hors de son dortoir au beau milieu de la nuit. Peut-être qu'elle aurait droit à un traitement de faveur, compte tenu de ce qui lui était arrivé récemment... Hm. Il ne fallait pas rêver. Les professeurs se montraient compréhensif à son égard, mais elle demeurait l'élève turbulente et infatigable qu'il devait supporter pendant les cours. Elle ferma les paupière, pris une inspiration profonde et la course commença, non sans retourner en arrière pour reprendre la baguette qu'elle avait malencontreusement lâché.

Sa salle commune était bien trop loin pour envisager d'y retourner, elle devrait donc trouver une autre salle dans laquelle se planquer. Pas de chance pour elle, elle se trouvait non loin du bureau d'un professeur. Elle arrivait au bout du couloir lorsque la porte de celui-ci s'ouvrit. Le souffle court, elle n'attendit pas une seule seconde et s'aventura dans les étages pour être certaine de ne pas croiser l'un des professeurs. Essoufflée, Pims n'avait jamais été douée en sport, mais elle puisait sans ses dernière ressources et continuait à courir aussi rapidement et silencieusement que possible. Ce qui n'était pas spécialement facile pour une catastrophe sur pâte dans son genre. Elle désespérait à trouver une porte ouverte qui lui donnerait accès à une cachette. Elle essaya plusieurs portes avant d'en trouver une qui n'était pas fermée à clé. Un rapide coup d’œil sur les environs. La salle de armures. raaaah. Toutes ses silhouettes pouvaient dissimulés quelqu'un, elle détestait cela. Pimprenelle était devenue légèrement paranoïaque, mais elle se rassurait en se disant que cela passerait, avec le temps, beaucoup de temps. Elle était tellement occupée à toiser les ombres qui l'entouraient qu'elle ne vit pas l’armoire bouger. Lorsqu'elle porta son attention sur l'objet, celui-ci était immobile et représentait une cachette idéale où elle ne devrait plus affronté les silhouettes ténébreuses des armures. Elle s'enfonça dans l’armoire, sans soupçonner la présence de quelqu'un... Du moins, pas avant qu'elle n’effleure la main de son compagnon de fraude. Silencieuse, elle prononça un "lumos" et souleva sa baguette avec lenteur. Elle étouffa un cris dans sa main lorsqu'elle découvrit le visage d'Arthur à quelques centimètre du sien. Elle le frappa à plusieurs reprises, furieuse de s'être laissé éffrayer aussi facilement par un élève de sa propre maison.
Pimprenelle L. Scrooge
HOMINUM REVELIO !
Pimprenelle L. Scrooge

ϟ MASCOTTE.
cinquième année


Féminin
PARCHEMINS ENVOYES : 112
DATE D'INSCRIPTION : 06/04/2011
ÂGE DU PERSONNAGE : 28
FRIANDISE PREFERE : je les aimes toutes, je ne suis pas franchement difficile, puis comme ça, pas de jaloux.
PATRONUS : Un caniche
HUMEUR DU JOUR : Pétrifiée



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