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Chers élèves, les équipes de QUIDDITCH n'attendent que vous pour passer les sélections. Prochain MATCH : Slytherin VS Hufflepuff !!!
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MessageSujet: How do you like me now ?   How do you like me now ? EmptyJeu 28 Avr - 22:07

Assis dans le parc, profitant des quelques rayons de soleil qui réchauffaient l'atmosphère, Lachlan regardait la scène qui se déroulait devant ses yeux, un mince sourire figé sur ses traits habituellement si sombres. Ses sourires étaient rares, au point qu'on en venait à se demander s'il ne s'agissait tout simplement pas de rictus incontrôlés. Mais il y avait une pensée qu'il affectionnait davantage que les autres, et qui se trouvait bien souvent à l'origine de ces sourires en coin: celle où il avait enfilé sa robe de sorcier et aperçu Hogwarts pour la première fois. Ce souvenir venait d'être ravivé tandis qu'il observait un premier année de sa maison manier maladroitement sa baguette, tentant de reproduire un sort de base qu'il avait probablement vu en cours quelques temps plus tôt. Lachlan se surprenait à l'encourager en silence, ne se rappelant que trop bien de l'admiration qu'il éprouvait pour ses aînés, capables de produire des sortilèges qui lui paraissaient d'une complexité sans égal. Aujourd'hui, c'était lui l'aîné. Il était loin d'être un exemple, un modèle pour les plus jeunes. Sauf s'il devait leur montrer les choses à ne pas faire. Auquel cas il aurait été tout indiqué pour le rôle.
Lorsqu'il vit le jeune Serdaigle secouer frénétiquement sa baguette après un énième échec, Lachlan se releva. Il passa une main sur sa robe de sorcier pour enlever les brindilles qui y étaient restées accrochées, et entreprit de s'avancer vers son jeune condisciple. Il n'aurait pas vraiment su expliquer pourquoi il agissait ainsi. Peut être parce que pour une fois, il n'avait pas envie de n'être que celui qu'on évite. Peut être encore parce que la vue de ce gamin ne faisait que lui renvoyer le souvenir de celui qu'il était au même âge: ce garçon qui refusait qu'on l'aide, persuadé qu'il y parviendrait seul. Mais qui avait fini par s'enfermer dans sa propre colère, chassant tout ceux qui tentaient de nouer un quelconque lien avec lui. Alors bien entendu, en s'avançant, il ne pensait pas à tout cela. Lachlan se disait que, pour une fois, rendre service ne serait pas un mal. A sa vue, le jeune garçon stoppa tout mouvement, une expression craintive prenant place sur son visage. La réputation de Lachlan le précédait. Il était parmi les moins appréciaient des Serdaigles. Constamment sérieux, froid et sévère, parfois même agressif, on préférait éviter sa route plutôt que de subir ses foudres. Et nul doute qu'en cet instant, le jeune Serdaigle se demandait ce qu'il avait pu faire pour mériter une pareille visite. Sans un mot, Lachlan arriva à sa hauteur. Il sortit sa propre baguette, alors que le jeune Serdaigle ne le lâchait pas du regard. « Concentre toi. Sois ferme dans tes mouvements. » Watson visa une pile de livres qui appartenaient au garçon, et sans mot dire, déplaça la pile de quelques mètres. La surprise se lisait sur le visage du jeune garçon. Il lâcha son professeur improvisé du regard, et fixa sa baguette comme s'il tentait de l'hypnotiser. Déglutissant péniblement, le jeune garçon murmura sa formule, une assurance nouvelle dans la voix. Le résultat fut sans appel: une nouvelle fois, les livres s'envolèrent, plus malhabilement qu'auparavant, mais au moins ils avaient changé de place. Lachlan serra la main du jeune garçon en guise de félicitations, et resta là tandis que le jeune Serdaigle rassemblait ses affaires en toute hâte, trop heureux d'aller raconter cela à ses camarades. Lorsqu'il fut parti, Lachlan s'installa à sa place, à l'ombre sous un arbre dont les racines flirtaient avec la surface du lac.

Le Serdaigle restait pensif, le regard perdu en direction du lac. A chaque fois qu'il en regardait la surface lisse, Lachlan espérait presque voir l'une des mythiques créatures qui le peuplaient apparaître devant ses yeux. Il pouvait rester des heures assis là, simplement à contempler ce qui se trouvait devant lui. Il n'était pourtant pas d'un naturel rêveur, mais la beauté du paysage suffisait à elle seule à lui faire prendre le temps de s'attarder. Et puis, il était un élève studieux, et savait que ces pauses qu'il s'accordait ne pouvaient lui être que bénéfiques. A condition, bien sûr qu'aucune présence inopportune ne vienne le déranger. Ce qui, de toute évidence, ne devait pas être le cas aujourd'hui. Le jeune homme s'était presque coupé du monde, le regard évasif, ne prétend pas attention à ce qui l'entourait. Mais s'il avait témoigné un peu plus d'intérêt pour ce qui se trouvait autour de lui, il aurait certainement comprit que la meilleure chose à faire aurait été de retourner dans sa salle commune. Il n'était pas lâche, mais il y avait des combats qu'il était préférable de ne pas livre. Ne sachant pas encore quelle calamité allait lui tomber sur le dos, il respirait la tranquillité, chose rare pour quelqu'un qui semblait n'être que nervosité et impatience.

805 mots. Et en plus c'est mauvais.
Lachlan G. Watson
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Lachlan G. Watson

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PARCHEMINS ENVOYES : 54
DATE D'INSCRIPTION : 05/04/2011
ÂGE DU PERSONNAGE : 30
FRIANDISE PREFERE : Gnomes au poivre
PATRONUS : un aigle
HUMEUR DU JOUR : neutre

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MessageSujet: Re: How do you like me now ?   How do you like me now ? EmptyLun 9 Mai - 15:54

Installée dans les gradins du terrain de Quidditch, j'étais plongée dans mes pensées, imaginant toutes sortes de stratégie pour arracher la victoire au Hufflepuff que nous affronterions prochainement. Les orbes azurés rivés sur les anneaux magiques, je laissais de temps à autres échapper le vif d'or et l'enfermais presque aussitôt dans l'étreinte de mes doigts. Il m'appartenait, pour toujours et à jamais. C'était le premier vif d'or que j'avais attraper, et cela bien avant que je n'entre dans l'équipe des Slytherin. J'avais ça dans le sang, c'était indéniable. Mais malheureusement, mon habilité au Quidditch ne me garantissait pas la victoire. j'avais beau être capitaine, je craignais sans cesse que l'incapacité de l'un des membres de mon équipe ne vienne gâcher mes talents en matière de stratégie. Les entrainements s'enchaînaient et ne se ressemblaient aucunement. Les erreurs étaient inévitable, mais elles étaient, selon moi, bien trop nombreuse. Nous lancions la saison de Quidditch en affrontant les Hufflepuff et j'avais la ferme intention d'imposer les Slytherin en tant que favoris incontestée en écrasant les blaireaux. J'avais réussi à entrevoir certains de leur entrainement, mais jusque là, rien de très concluant, rien qui ne puisse m'assurer la victoire. Mes doigts s’écarquillaient pour laisser partir la petite balle dorée. Elle ne s'éloigna pas bien loin tournant malicieusement autour de moi, comme si elle cherchait à ce que je ne l'attrape. J'étais tellement songeuse que je ne lui accordais pas la moindre attention. Je me penchais légèrement, posant mes coudes contre mes genoux et venant nicher mon menton entre mes mains. Je connaissais les moindres centimètres de ce terrain et pourtant, j'espérais avoir oublié un détail, un tout petit détail qui changerait la donne et ferrait toute la différence.

je soupirais, forcée de constater qu'aucun miracle ne subviendrait. Une impulsion de mes pieds et je me retrouvais debout, le vif d'or tournoyant toujours autour de moi. Par réflexe, je mes doigts venais l'emprisonner dans la paume de ma main droite. Je le toisais quelques instants et le rangeant dans la poche de mon pantalon. Habillé à la garçonne, j'avais délaissé ma robe de sorcière pour une tenue de Muggles, probablement une de seul chose que ce peuple misérable faisait de bien. Je passais mes pouces contre les bretelles qui revenaient par dessus une chemisier blanc, m'amusant de ce petit gadget qui n'était pour moi que purement esthétique, puisque la magie réglait les petits problèmes qui auraient du être corrigé par les bretelles. Je descendais les marches des gradins, souple, gracieuse et rapide, prenant la direction du parc sans m'attarder plus longtemps puisque je n'en avais tiré aucun profit.

Je trainais volontairement, n'ayant pas forcément envie de rejoindre le château. j'y trouvais l'ambiance lourde depuis que cette stupide petite rouquine s'était faites prendre au piège. Si je croyais au rumeur concernant héritier des Slytherin? Je n'en étais plus certaine. Cette hufflepuff avait une vision fantasque et complètement délirante de son attaque, remettant sérieusement en doute la véracité des faits. De plus, le temps était particulièrement doux, ce qui était plutôt rare pour la saison. Je laissais mes orbes azurées se promener sur les lieux à la quête d'une quelconque occupation. Ironie du sort, mon regard se posait sur un Ravenclaw que je ne connaissais que trop bien. Un sourire vint fendre mes lippes fines et rosées alors que je changeais de direction pour le rejoindre. Il était légèrement reculé, abrité au pied d'un arbre. La démarche assurée, je m'avançais jusqu'à lui et venait m'installer sur ses genoux sans la moindre gène. Il ne m'avait probablement pas vu venir et devait se demander ce qui lui tombait dessus. Pauvre petit moineau. Mes doigts venaient effleurer son visage jusqu'à son menton, lui offrant un sourire.
    Je viens sauver ta journée, qu'est ce que tu en penses?

Joueuse et aguicheuse, je plongeais mon regard dans les siennes. Lachlan aurait très bien pu me repousser et il l'aurait probablement fait si nous n'avions pas eut d’antécédent. J'aimais cette ambiguïté que je nourrissais en suffisance, soufflant le froid et le chaud à ma guise pour lui faire tourner la tête. En contre partie, je pouvais m'attendre à tout. C'était sans doute ce qu'il y avait de plus divertissant entre nous. Il y avait quelques chose de rassurant de cette relation et pourtant, rien n'était acquis, à chaque instant, il pouvait m'envoyer promener et se lasser de notre petit jeu. Mais c'était ce qu'il y avait de plaisant. Je pouvais le perdre et je n'étais même pas certaine que cela me toucherais... Hm. Si. Si, en fait, cela me toucherait, mais j'étais bien trop fière pour l'avouer. cette relation était on ne peut plus égoïste de ma part, tout comme je l'étais avec les autres garçons que je côtoyais. j'aimais avoir main mise sur eux, mais je détestais les savoir en compagnie d'autre donzelle. je voulais l'exclusivité alors que je leur refusais. Enfin, ce n'est pas comme s'ils me la demandaient, ils n'étaient pas suffisamment naïf pour croire que je la leur accorderais... A moins que.

835 mots
L. Emrys Black
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L. Emrys Black

CAPITAINE ϟ ATTRAPPEUSE.
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PARCHEMINS ENVOYES : 305
DATE D'INSCRIPTION : 22/03/2011
ÂGE DU PERSONNAGE : 31
FRIANDISE PREFERE : Des Bulles Baveuses
PATRONUS : Un sapajou
HUMEUR DU JOUR : Chiante et assume

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MessageSujet: Re: How do you like me now ?   How do you like me now ? EmptyLun 9 Mai - 20:30

La surface lisse du lac était presque hypnotique. Lachlan ne se lassait pas d'admirer le panorama, ne pouvant faire taire la petite voix qui, dans un coin de son esprit, ne cessait de lui répéter qu'à la fin de cette année, il tournerait définitivement la page de Hogwarts. Certes, il avait toujours méprisé l'idée qu'on le traite comme un enfant, et cette école était justement peuplée d'adultes qui le maternaient quand bien même il n'en avait jamais fait la demande. Mais le château avait un charme qui n'appartenait qu'à lui, et surtout, il ne s'était jamais senti autant à la maison qu'en cet endroit magique en tout points de vue. Il y avait noué quelques amitiés, d'autres inimitiés, et avait surtout pris conscience du potentiel qui était le sien. Il y était entré comme un enfant manquant d'assurance, seul et incertain face au vaste monde. Et s'il était toujours aussi seul sur bien des points, il avait gagné en confiance en lui. Et surtout, son ambition semblait plus tenace que jamais. Aussi faisait il taire cette voix dans sa tête, préférant voir l'avenir avec sérénité, plutôt que de se morfondre sur le temps qui lui restait à passer ici. Lachlan n'avait rien d'un rêveur ou d'un nostalgique. Pourtant, en cet instant, celui qui prétendait ne pas rêver aurait eu bien du mal à prouver le contraire. Car s'il avait prêté davantage attention au monde qui l'entourait, il aurait reconnu la démarche chaloupée d'Emrys, sa tentatrice préférée. Sans attendre qu'il remarque sa présence, elle prit place sur ses genoux, empêchant au sorcier toute manoeuvre d'évitement. En aurait il eu seulement envie s'il en avait eu l'occasion? Probablement pas. Entre eux, un étrange manège s'était développé, sans qu'aucun ne puisse réellement expliquer quels en étaient les vrais enjeux. Deux êtres qui se tournent autour, se séduisent pour mieux se repousser. Entre ses mains Lachlan avait l'impression de n'être qu'une marionnette, et pourtant, pour une fois, cela ne l'ennuyait pas plus que cela. Pire, il semblait apprécier les manigances de la sorcière pour le rendre fou. Fou d'elle, de son parfum, sa démarche. Mais surtout du fait qu'elle lui restait inaccessible, le laisser venir pour mieux le repousser. Lachlan aurait pu s'en lasser. Avec d'autres, il l'aurait fait. Mais avec elle, le jeu prenait une dimension qu'elle n'aurait atteint avec nulle autre femme. Il sentit ses doigts glisser le long de son visage, et admira le sourire qu'elle lui offrait, lui en rendant un en retour. Il l'enveloppa de ses bras, posant une main sur sa hanche fine, remarquant du même coup qu'elle avait troqué sa robe de sorcière pour des habits de moldus. Il garda pour lui une moquerie à ce sujet, sachant que lui reprocher son goût pour les frippes de ceux qu'elle méprisait ne serait pas du goût d'Emrys. Il était encore une fois étonnant de voir à quel point Lachlan semblait plus diplomate avec elle qu'il ne l'était avec le reste du monde. Jusqu'à ce qu'elle ne se lasse et le repousse à son tour, mettant fin à leur petit jeu jusqu'à la prochaine fois. Mais le moment n'était pas encore venu. Elle était joueuse, et lui réceptif à son petit manège.

 « Je viens sauver ta journée, qu'est ce que tu en penses? » son regard se posa sur celui du jeune homme, qui ne cilla pas. Il admira ses yeux d'azur et de sa main libre alla remettre une mèche de cheveux derrière l'oreille de la belle. « J'en pense que tu tombes au bon moment. » Il n'y avait pas de bons ou de mauvais moments, en réalité. Il n'y avait que ceux où Emrys se sentait d'humeur à jouer, et où Lachlan répondait présent. Peut être qu'un jour il en aurait assez. Mais jusqu'à présent, la situation ne s'était jamais présentée, permettant à l'un comme à l'autre de se laisser aller à leur jeu sans problèmes. Entreprenant, Lachlan laissa glisser sa main contre l'une des cuisses de la jeune fille, ne détachant pas son regard du sien. « Que puis je faire pour toi aujourd'hui Emrys ? Et toi. Quand feras tu quelque chose pour moi ? » Il avait parlé à peine plus fort qu'un murmure. Avec douceur, il déposa un baiser dans le creux de sa nuque, prenant un instant pour savourer son parfum entêtant. Emrys était inaccessible. Pas seulement pour lui, mais pour tous les hommes de cette école. Elle se jouait d'eux, et n'attendait rien en retour si ce n'était qu'on la laisse tranquille. Lachlan avait compris à ses dépends qu'on ne pouvait pas s'approprier Emrys plus d'une nuit. Et même si tel était le cas, même si vous saviez dès le départ que cette relation d'un soir ne déboucherait sur rien d'autre, elle veillait malgré tout à ce que vous soyez certain de ne pas l'oublier. Elle, si prompte à jouer les insolentes femmes fatales d'un simple battement de cils, était aussi la première à fuir lorsque les choses prenaient une tournure trop personnelle ou trop intime. Emrys était l'objet de tous les fantasmes, mais simplement parce qu'elle veillait à ce que cela en soit ainsi. Y 'avait il seulement quelqu'un dans son monde qui puisse se vanter d'avoir volé son coeur? Lachlan en doutait, comprenant son besoin de fuir les autres comme personne. Lui même ne croyait pas en l'amour. Il était le fruit d'une union sans saveur, et n'avait jamais rencontré quelqu'un qui lui fasse donner un sens à ce sentiment si confus. Non, il ne restait que des femmes comme Emrys, qui jouaient de leurs atouts pour attiser des sentiments passionnés en lui. Cette passion, par définition, n'était pas de l'amour. Tout juste un faux semblant dont il se jouait sans scrupules. Dans quelques minutes, peut être davantage, Emrys se serait lassée de leur jeu. Elle le repousserait, et cette passion passagère s'éteindrait aussi vite qu'elle était réapparue. Lachlan n'y était que trop habitué. Même si, comme à chaque fois, il appréciait les manoeuvres de la Serpentard pour l'aguicher sans gêne.

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Lachlan G. Watson
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MessageSujet: Re: How do you like me now ?   How do you like me now ? EmptyMar 10 Mai - 21:00

Je pinçais délicatement mes lippes l'une contre l'autre, prenant un soin tout particulier de laissé les sous entendus s'emparer de mon regard. Aaaah. les regards. Ils étaient des armes particulièrement efficaces. Ils n'avaient pas besoin de mots pour se faire entendre. Après tout, n'étaient-pas le miroir de l'âme? Hm. Si c'était réellement le cas, ils étaient certainement les mieux placer pour communiquer avec les autres membres de l'espèce humaine... Peut-être même animale. L'index toujours contre son menton, je caressais les contours de son visage, ou plutôt, je les effleurais, doucement, délicatement, exagérément.
    J'en pense que tu tombes au bon moment.
Malicieusement, je soulevais les épaules alors que ma main venait s'échouer contre son torse. Je savais que je jouais avec le feu, mais j'avais besoin de cette relation, j'avais besoin d'avoir ce contrôle de la situation, peut-être parce que je l'avais perdu avec Ignatius Prewett et que cela me permettait de donner au change. C'était on ne peut plus égoïste, mais je n'en avais absolument pas conscience, persuadée que de toute façon, cela ne dérangeait pas Lachlan. Hm. Après tout, je n'avais pas totalement tord, dans les grandes lignes du moins. C'est tout ce qui comptait, les grande ligne, je ne m'attarderais pas dans la profondeur, c'était trop confus, trop compliqué et finalement, trop destructeur. Non, j'aimais la simplicité de mes rapport avec Lachlan, cela me rassurait, cela me permettait de prouver que j'étais toujours la même. A qui? je n'en savais trop rien. Peut-être à moi même.
    Hm... Oui, c'est l'une de mes nombreuses qualités.
Narcissique et égocentrique, ce n'était certainement pas la modestie qui étoufferait. J'avais une fâcheuse tendance à croire que le monde était à mes pieds et que les personnes qui m'entouraient n'étaient là que pour assouvir le moindre de mes caprices. Je tomberais probablement haut en découvrant la triste réalité, mais ce jour là n'était pas encore venu. Je n'imaginais même pas que cela puisse se produire un jour. Naïve? Optimiste? Ou simplement confiante? Aucun des trois. Je n'y pensais tout simplement pas, comme si ma chute était impossible et improbable. Un sourire s'empara de mes lippes alors que sa main venait se glisser contre ma cuisse, joueur, tout autant que moi. C'était exaltant de trouver un camarade de jeu. Ma main venait se poser contre la sienne, maintenant la pression contre ma cuisse, je l'invitais à se glisser lentement contre ma jambe. je réajustais presque aussitôt ma position, plaquant mon dos contre le torse du jeune Ravenclaw. Mes jambes passais de par et d'autre des siennes, posant mes talons contre le sol. Je basculais ma tête en arrière, la laissant reposer contre l'épaule de Lachlan. Je tournais mon regard vers lui, laissant mon souffle chaud venir caresser sa joue, dans une infime provocation. Nous nous retrouvions, par ma faute, je ne le niais nullement, dans une position peut convenable qui choquerait plus d'une personne de ce château. Mais je n'en avais que cure, ce n'était un secret pour personne ici bat ; je faisais ce que je désirais, quand je le désirais, avec qui je le désirais. Il n'y avait jamais eut personne pour me contredire à ce sujet. Quant à l'image que ce genre de comportement pouvait véhiculer, c'était du pareil au même. Franchement, j'en n'en avais que faire, cela ne changeait strictement rien. je savais ce que je valais, je savais ce que j'étais et je savais pertinemment que ces jugements ne parviendraient jamais jusqu'à moi. Seul un fou aurait l'audace de me critiquer ouvertement. La plupart des gens préférais garder le silence plutôt que de risquer de me contrarier. Je n'étais pas le genre de fille que l'on contrarie sans qu'il n'y ai des répercussions. Je jouais avec le feu, je le savais, en le poussant de plus en plus loin dans ses retranchements, je me risquais à le perdre lui et cette stabilité qu'il m'apportait. Mais c'était plus fort que moi, j'étais ainsi, prête à me bruler les ailes, à me mettre en danger pour explorer mes limites et celle des autres.
    Que puis je faire pour toi aujourd'hui Emrys ? Et toi. Quand feras tu quelque chose pour moi ?
Et voilà, nous y étions. Il m'avait donner sans jamais rien attendre en retour, mais nous ne pouvions pas continuez ainsi éternellement, il faudrait bien qu'un jour où l'autre je me décide à lui rendre en retour. Je n'étais pas réellement contre l'idée de le satisfaire, après tout, j'avais déjà partagé une fois son lit. Non, c'était plus par esprit de contradiction. C'était plus par principe. C'était plus par provocation. C'était aussi un peu pour Ignatius, mais cela, je n'étais pas encore prête à me l'avouer, voir pas du tout. Mon nez se glissa contre sa joue, l’effleurant de mes lèvres.
    Hm... Si je te donnait l'opportunité de choisir une chose, une seule, que je pourrais te faire...
Mes lèvres venaient s’emparer de sa peau, la marquant de baiser sensuel. Je me délectais, le toisant, je ne voulais surtout pas louper sa réaction. Pendant tout ce temps, ma main continuait de le guider malicieusement sa main contre ma cuisse, l'approchant dangereusement d'une zone qui lui était pourtant interdite. A l'instant fatidique, je refermais mes cuisses, empêchant ainsi sa main de poursuivre sur cette voie.
    Qu'est ce que tu en penses ?
Ce qu'il en pensait? Probablement que j'étais un magnifique garce qui s'amusait dangereusement avec ce genre de faveur. Il se demanderait probablement si je me moquait de lui ou si j'étais sérieuse. Je ne le savais pas moi même, je savais simplement que l'envie de jouer était de plus en plus forte et qu'il me fallait repousser les limites toujours un peu plus loin. Je craignais qu'il ne me repousse, mais si cela devait arriver, je m'arrangerais pour le garder auprès de moi. Je trouverais les arguments pour le maintenir à côté de moi. Je trouvais toujours les arguments. Oui, je me croyais sans faille, trônant au milieu des Slytherin, j'avais oublier que l'on pouvait me résister, me dire non, me repousser. Je devrais de temps en temps revenir à la réalité pour me rendre compte que tout n'était pas aussi parfait qu'il n'y semblerait. Finalement, j'étais une petite fille capricieuse qui ne se rendait pas compte qu'elle vivait dans une petite cage d'or et d'argent. Aaaah. Que la chute serait douloureuse. Je regretterais sans doute d'avoir suivit mes pulsions, mais le temps n'était pas encore venu, non, pas encore, du moins, c'est ce que j’espérais. J'étais comme cela, je ne pensais guerre, me laissant habitué par ce que je ressentais, j'agissais au feeling et jusque là, je m'en tirais plutôt pas mal.


L. Emrys Black
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